« En cette période estivale, L’Œil Sourd, collectif de renom aux multiples ressources et divers attributs vous propose ce cybercarnet. Véritable outil de propagande contemporaine, le blog est effectivement un moyen des plus sûrs pour parvenir à nouer un semblant de contact avec une audience peu regardante. Toujours est-il, L’Œil Sourd, habituellement voué à l’édition discographique, aux représentations auditives, s’adonne à la composition de ce journal de bord promis à une rapide autodestruction (ou presque). »

mercredi 27 juillet 2011

>>> L’Impénétrable Vie Sexuelle de Bobby Boobs [n°1]

De son grand plongeon dans les affres d’une accablante sexualité, Bobby n’avait que quelques vagues souvenirs : madeleines de Proust de formes phalliques, réminiscences d’orgies lointaines, subtiles odeurs d’orifices divers. À vrai dire, Bobby Boobs était dorénavant la coqueluche du quartier ; ceci dans les deux sens du terme : une maladie contagieuse pour les uns, un véritable héros salvateur du pubis pour les mêmes. Son atout principal étant la puissance de sa croupe mêlée à un toucher buccal peu commun. En outre, il avait toujours bénéficié d’une endurance favorable à l’exécution des pudiques fantasmes d’autrui.

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Pourtant, une anecdote des plus grandiloquentes, remontant à bien des années, ne parvenait à être balayée de son esprit par les extrêmes d’une pratique toujours plus violente. En effet, Bobby avait une histoire en tête ; saillante épine dans le cosmos de ses neurones. C’est-à-dire qu’un matin de 1983, alors qu’il n’était encore qu’un bambin, un « petit loulou » apparemment sans défense, il décida d’entreprendre Margaret : la dame de la cantine. Entreprise qu’il sentait d’ores et déjà très périlleuse, l’hypothétique future petite amie de notre personnage principal étant plus proche d’une retraite anticipée que de sa dernière grossesse. Que diraient ses proches à la vue d’une telle différence d’âge ?

Loin s’en faut, le jeune Boobs ne ressentait la moindre parcelle de découragement. Bien au contraire, l’idée d’un tel défi exacerbait considérablement ses compétences. Évoquons une bonne fois pour toutes l’enjeu de taille, le physique de la cuisinière d’exception qui bénéficiait sans le savoir de fabuleuses ondes érectiles au pouvoir dévastateur. Son fessier flasque en était la principale cause, attrayant au possible, il semblait supplier le passant d’une glissade entre des cuisses à l’élasticité encourageantes, dans l’unique but d’un vidage express. C’est sans compter sur l’imposante gorge ! La poitrine d’outre-tombe, les mamelles de laitière au cœur desquelles bien des frottements hispaniques avaient aboutis.

Bobby opéra en plein repas, juste après l’assiette de crudités, au moment où les spaghettis bolognaises s’apprêtaient à être servies. Il courut vers les fourneaux, empoigna le tablier vert de la ménagère et tira d’un coup sec ! Margaret, cul nul, piquée au vif, était pour le moment dans l’incapacité totale d’émettre la moindre réaction et notre cher Boobs en profita pour y insérer son soulagement bien mérité. Prise de panique face au professionalisme d’un si petit bonhomme, le couple entier fut emporté dans un terrible roulé-boulé d’où sortirent bon nombre d’onomatopées – UUuUuh ! Oooo ! AaAA ! Grrmblr ! UUuUuh ! Oooo ! AaAA !
L’étreinte n’en finissait plus. Voilà un bon quart d’heure qu’ils se malaxaient sauvagement. Bobby impressionnait ses camarades à rester cramponné ainsi à la paire de nichons de Margaret ! Comme ils auraient aimé être à sa place : petites, moyennes et grandes sections… Les animateurs du restaurant scolaire voyaient les choses tout autrement, effarés devant ce spectacle apocalyptique qu’ils finirent par faire cesser à grands coups de chaussures, ils avertirent au plus vite le directeur de l’établissement. Dès le lendemain, une décision était prise et la pédophile fut remise à la gendarmerie. 


À SUIVRE...

2 commentaires:

  1. Wouaah, mais c'est dingue tout ça ><

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  2. Et venant d'un maître en désordre, c'est un sacré compliment. Merci Poxy McChrist !

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